1ère intention: Scanner abdominopelvien
L'examen le plus performant est le scanner mais il doit être étayé par des signes cliniques associés.
Il doit être utilisé d'autant plus facilement que le patient est âgé.
L'examen le plus performant est le scanner mais il doit être étayé par des signes cliniques associés.
Il doit être utilisé d'autant plus facilement que le patient est âgé.
L'échographie doit être réservée aux patients jeunes ou dans des cas d'hypothèses diagnostiques particulières (pathologies biliaire, appendiculaire, appendagite épiploïque).
L'hypothèse d'une pathologie gynécologique (âge, sexe) doit amener à faire l'échographie en 1ere intention.
Le degré d’urgence est déterminé en fonction du tableau clinique complet.
En cas de contre-indication affirmée aux produits de contraste, un scanner sans injection peut être proposé plutôt qu’une échographie, sauf s’il existe une orientation diagnostique précise (pathologie biliaire).
Le cliché de l’abdomen sans préparation n’est utile qu’en période néonatale.
Il est peu contributif chez l’enfant et source d’exposition aux rayonnements ionisants.
L’échographie doit être privilégiée dans le cadre d’un bilan étiologique spécialisé.
L’échographie est souvent peu rentable.
Le scanner doit être réalisé rapidement en seconde intention s’il existe des signes cliniques (diarrhée, alternance diarrhées constipation, ictère, vomissement, perte de poids…) ou biologiques (syndrome inflammatoire, anémie, cholestase…) associés.
L’échographie est souvent peu rentable.
Le scanner doit être réalisé rapidement en seconde intention s’il existe des signes cliniques (diarrhée, alternance diarrhées constipation, ictère, vomissement, perte de poids…) ou biologiques (syndrome inflammatoire, anémie, cholestase…) associés.