Echographie pelvienne
Une échographie pelvienne est indiquée à la recherche d’une grossesse après dosage des BetaHCG, afin de vérifier sa position intra utérine et éventuellement de la dater en fonction de la date des dernières règles.
Une échographie pelvienne est indiquée à la recherche d’une grossesse après dosage des BetaHCG, afin de vérifier sa position intra utérine et éventuellement de la dater en fonction de la date des dernières règles.
Il n’y a pas d'indication à une imagerie spécialisée. L’hémospermie est le plus souvent bénigne, secondaire à une inflammation prostatique. L’indication d’une imagerie par échographie ou IRM ne sera posée qu’après un avis spécialisé.
L’IRM cérébrale avec spectroscopie est un des éléments de l’enquête étiologique. Elle est plus contributive après l’âge de deux ans. Elle n’est pas systématique lorsque la maladie causale est prouvée.
Ces clichés sont de réalisation et d’interprétation difficiles.
Même en situation superficielle, leur aspect en échographie n’est pas toujours typique (échogénicité variable). L’IRM (ou à défaut le scanner) permet de confirmer ou non le diagnostic. On observe une augmentation des demandes de biopsies même pour les lipomes typiques car l’absence de MDM2 permet de confirmer le diagnostic et d’éviter les surveillances répétées. Dans tous les cas, le trajet de biopsie devrait être discuté en RCP.
En cas de paralysie faciale centrale, une IRM cérébrale sera systématique. On recherche une pathologie vasculaire si la paralysie est aiguë, une pathologie inflammatoire ou tumorale si elle est progressive.
Le cliché comparatif est inutile. En cas de doute, prendre un avis radiologique.
Les objectifs de cette IRM sont de rechercher :
Le scanner n’est plus utilisé car il ne permet pas une bonne évaluation de l’atrophie ni des infarctus silencieux (bien visibles en IRM avec la séquence de diffusion) et est inefficace pour la recherche de l’angiopathie amyloïde +++.
Elle recherche une dilatation du haut appareil urinaire après évacuation vésicale.
Elle est indiquée en cas de doute diagnostique à l’examen clinique. Elle confirme le diagnostic, apprécie l’état du testicule sous-jacent (hydrocèle réactionnelle à une orchi-épididymite ou un cancer du testicule. Elle permet également de faire le diagnostic différentiel (hernie inguino-scrotale, kystes de l’épididyme ou du cordon).
Le diagnostic de fracture de l’os nasal est clinique. La justification clinique d’un traumatisme nasal (avec éventuelle photographie) est suffisante d’un point de vue médico-légal. En cas d’œdème post traumatique important ne permettant pas d’affirmer le diagnostic de fracture de l’os nasal, une réévaluation clinique au 5ème jour est recommandée. Alternativement, et après avis ORL, un scanner du massif facial peut être indiqué.
Cet examen est réalisé à la recherche d'anomalies associées à un syndrome métabolique (stéatose, fibrose).
L'IRM est l'examen le plus performant pour le diagnostic positif de SEP. Elle permet également d'exclure d'autres diagnostics. Le protocole de suivi est celui de l’Observatoire Français de la Sclérose en plaques (OFSEP), dont les dernières recommandations datent de 2020.
Dans le suivi, l’injection de produit de contraste n’est pas nécessaire si le patient traité va bien et que les examens antérieurs sont disponibles pour analyser d’éventuelles nouvelles lésions. L'injection est indiquée : lors du diagnostic initial (baseline), lors de la première réévaluation (re-baseline), en cas de poussée clinique ou lors d'une modification de traitement.
L’échographie n’est pas indiquée en première intention car elle ne permet pas de localiser avec certitude les testicules en dehors du canal inguinoscrotal qui est déjà accessible à l’examen clinique. Un avis spécialisé est nécessaire.
Cet examen est réalisé à la recherche d'anomalies associées (stéatose, fibrose).
L’IRM n’est recommandée pour le diagnostic du cancer de prostate que s’il existe une suspicion clinique de cancer de prostate, pour guider la stratégie de biopsies après un interrogatoire et une évaluation du risque tumoral (toucher rectal, évaluation du PSA, interrogatoire lors d’un entretien individuel).
L’examen doit être multiparamétrique avec un compte rendu standardisé répondant aux critères PI-RADS.
L’imagerie n’est pas utile en première intention en présence d'une énurésie isolée. En revanche, l’apparition récente d’une énurésie requiert une échographie de l’appareil urinaire.
L’échographie n’est indiquée que si l’examen clinique est non contributif, ou en cas de suspicion de complication (abcès ou tumeur à révélation inflammatoire).
Elle est systématique pour préciser la date de début de grossesse, délai médicolégal et IVG médicamenteuse ou curetage.
Elle sera indiquée pour rechercher une rétention en cas de saignements persistants.