Radiographie comparative non indiquée
Le cliché comparatif est inutile. En cas de doute, prendre un avis radiologique.
Le cliché comparatif est inutile. En cas de doute, prendre un avis radiologique.
Les objectifs de cette IRM sont de rechercher :
Le scanner n’est plus utilisé car il ne permet pas une bonne évaluation de l’atrophie ni des infarctus silencieux (bien visibles en IRM avec la séquence de diffusion) et est inefficace pour la recherche de l’angiopathie amyloïde +++.
Elle recherche une dilatation du haut appareil urinaire après évacuation vésicale.
Elle est indiquée en cas de doute diagnostique à l’examen clinique. Elle confirme le diagnostic, apprécie l’état du testicule sous-jacent (hydrocèle réactionnelle à une orchi-épididymite ou un cancer du testicule. Elle permet également de faire le diagnostic différentiel (hernie inguino-scrotale, kystes de l’épididyme ou du cordon).
Le diagnostic de fracture de l’os nasal est clinique. La justification clinique d’un traumatisme nasal (avec éventuelle photographie) est suffisante d’un point de vue médico-légal. En cas d’œdème post traumatique important ne permettant pas d’affirmer le diagnostic de fracture de l’os nasal, une réévaluation clinique au 5ème jour est recommandée. Alternativement, et après avis ORL, un scanner du massif facial peut être indiqué.
Cet examen est réalisé à la recherche d'anomalies associées à un syndrome métabolique (stéatose, fibrose).
Des biopsies mammaires sont réalisées devant toute anomalie classée BI-RADS (ACR) 4 ou 5 en imagerie (mammographie, échographie ou IRM). Une biopsie mammaire peut également être indiquée dans certains cas d’anomalie classée ACR3 ou d’anomalie clinique suspecte sans traduction en imagerie.
En cas de cécité brutale, on est dans la logique d’un AVC (priorité 1). En cas de cécité progressive sans explication en ophtalmologie, l’IRM permet la recherche soit d’une pathologie néoplasique ou d’un méningiome, soit d’une pathologie inflammatoire comme la SEP ou le spectre des neuromyélites optiques (priorité 2).
En cas de suspicion d'origine centrale (hémianopsie latérale homonyme, hémianopsie bitemporale (chiasma)), de signes associés (diplopie douloureuse) ou de début brutal, une IRM (ou à défaut un angioscanner) est indiquée en urgence. On recherche avant tout une origine inflammatoire, SEP ou spectre des neuromyélites optiques (NMOSD/MOG), ou une lésion tumorale.
En cas de suspicion de valve de l’urètre postérieur, l'échographie est réalisée dès la naissance, complétée par une cystographie dès que possible. Dans les autres cas, l'échographie est réalisée entre la fin de la première semaine et la fin du premier mois (une échographie avant J4 risque de sous évaluer une dilatation). Elle permet de situer le niveau de l’obstacle et d’apprécier la taille et la morphologie des reins. En fonction du résultat, un contrôle par échographie dans les 3 premiers mois de vie et/ou une cystographie peuvent être nécessaires.
L'échographie permet de visualiser les ovaires : volume, structure, follicules et d’apprécier le développement utérin, témoins de l’imprégnation oestrogénique. Une malformation des organes génitaux internes est recherchée.
Ces explorations sont indiquées en cas de puberté précoce vraie : apparition de caractères sexuels secondaires et accélération de la croissance avant 8 ans chez la fille et avant 10 ans chez le garçon.
L'échographie est toujours l'examen de 1re intention car elle permet de voir facilement les calculs dans la vésicule et parfois les calculs migrés dans le canal cholédoque, les signes d'éventuelles cholécystites ou une dilatation des voies biliaires intra- ou extrahépatiques. Priorité 1-2 si signes de cholécystite, priorité 3 si douleur chronique.
L'échographie est un examen toujours indiqué : - pour la recherche d'une néphropathie préexistante (polykystose, uropathie malformative, obstruction) ; - pour l'évaluation de la taille et du volume des reins ; - pour la recherche d'une sténose de l'artère rénale significative en doppler. Elle ne permet pas l’étude de la fonction rénale.
Elle permet de faire le diagnostic, d'évaluer la gravité et le retentissement de l'hypertension artérielle pulmonaire et de rechercher une étiologie.
L'échographie dans des mains entrainées peut être employée avec bénéfice chez un patient en décubitus non transportable.
Une investigation précoce (avant 8 semaines) est primordiale. Une échographie normale n’élimine pas le diagnostic d’atrésie des voies biliaires et le diagnostic de certitude en échographie est difficile. Un avis spécialisé est nécessaire en cas d’ictère persistant.
L’échocardiographie apprécie la taille, la forme, la structure, la mobilité et la zone d’insertion de la tumeur.
Le degré d'urgence est dicté par la présence ou l'absence d'une instabilité hémodynamique associée.
L’échographie peut permettre le diagnostic d’hémangiome, de kyste et de tumeur hépatocytaire bénigne (si du contraste est utilisé) sans imagerie supplémentaire.