2ème intention: IRM
Cet examen est réalisé en présence d’une lyse osseuse de l’étage antérieur ou de polype unilatéral.
Cet examen est réalisé en présence d’une lyse osseuse de l’étage antérieur ou de polype unilatéral.
Si l'examen doit être associé à une évaluation de l'insuffisance aortique, il faut privilégier l'IRM ; si le patient nécessite une surveillance, on peut privilégier l'IRM, surtout si le patient est jeune. Il peut exister des disparités de calibre entre les mesures IRM /scanner qui sont réalisées perpendiculairement à l’axe de l’aorte et celle de l’échographie. Ces disparités de calibre peuvent être marquées, notamment si le segment 0 est asymétrique et que son plus grand diamètre se situe entre la cuspide coronaire droite et la cuspide coronaire gauche. La mesure de ce diamètre n’est pas accessible à l’échocardiographie.
Elle est réalisée en seconde intention soit parce qu’une anomalie morphologique fœtale est suspectée lors d’un examen de dépistage, soit parce qu’il existe des antécédents lors d’une grossesse précédente. Elle est réalisée par des radiologues ou des obstétriciens référents, en lien avec un centre pluridisciplinaire de diagnostic prénatal (CPDPN).
L'IRM ne présente habituellement pas d'intérêt à la phase aiguë (sauf chez des sportifs de haut niveau).
Cet examen peut être indiqué lorsque l’on suspecte une pathologie des parties molles (collection, conflit avec le matériel, pseudotumeur…).
L’échographie des sutures est particulièrement utile dans l’exploration des craniosténoses simples, dans un centre spécialisé, après avis neurochirurgical.
Il est indiqué si une cause vasculaire sous-jacente est suspectée.
L'échographie peut être utile en cas d’anomalie focale des tissus mous (syndrome du 2ème rayon, aponévrosite plantaire, bursite, tendinopathie…). L’IRM sera préférée pour une évaluation plus globale (notamment osseuse et articulaire).
L’IRM lombopelvienne sans injection est un examen de seconde intention utile en cas de découverte d ‘une adénomyose, de malformations congénitales ou d’une endométriose pelvienne afin d’en faire le bilan d’extension exhaustif. Une injection de produit de contraste peut être recommandée dans certains cas (découverte de varices pelviennes, d’un kyste ovarien, ou de doute diagnostique). En cas d’échographie pelvienne normale et d’examen clinique en faveur d’une endométriose pelvienne, une échographie pelvienne par un expert et une IRM lombopelvienne sans injection sera également indiquée.
L’échographie avec injection de produit de contraste ultrasonore est un complément très utile pour l’analyse de la perfusion du parenchyme rénal, et permet le diagnostic de thrombose artérielle/veineuse tronculaire sans nécessité de recours à un produit de contraste iodé ou gadoliné.
Cet examen spécialisé nécessite une expertise spécifique en imagerie urologique.
Prise en charge réa+chir initiale. Echographie sans retarder le reste de la prise en charge
On peut compléter par voie endovaginale pour calculs bas uretères
Recherche complications (obstacle, abcès)
En SAUV pour diagnostic d’épanchement péritonéal (FAST)