2ème intention: Scanner cérébral
Cet examen est indiqué lorsque l’IRM n’est pas disponible.
Cet examen est indiqué lorsque l’IRM n’est pas disponible.
C’est l’examen de référence en cas de prothèse douloureuse sans explication radiographique. Il permet une analyse fine des interfaces os/ciment ou os/prothèse. C’est également l’examen de référence pour les mesures d’orientation du matériel prothétique. Le protocole doit être optimisé pour limiter les artéfacts métalliques (algorithmes de reconstruction de type MAR …).
La scintigraphie rénale dynamique avec test d’hyperdiurèse par injection de furosémide permet d’apprécier la qualité de la vidange rénale ; elle visualise également le parenchyme rénal et permet de calculer les fonctions rénales relatives.
La scintigraphie osseuse aux 99mTc-bisphosphonates revêt tout son intérêt dans l’exploration des syndromes douloureux inexpliqués d’un membre, supérieur ou inférieur, qu’ils soient à type de polyalgie ou de douleurs plus localisées.
L’imagerie scintigraphique du squelette entier systématique permet a) de révéler une lésion osseuse ou une arthropathie à un stade infra-radiologique (invisible sur les radiographies et/ou à la TDM), b) de localiser une lésion osseuse ou une arthropathie à distance à l’origine d’une douleur projetée (ex ostéome ostéoïde) et c) permet de détecter des lésions à distance asymptomatiques ou pauci-symptomatiques (d’intensité douloureuse au second plan comparativement à la douleur de la lésion d’appel) (ex métastases osseuses).
Le recours à la modalité SPECT/CT est indispensable en cas d’anomalie de fixation visible sur scintigraphie planaire de débrouillage.
Le scanner peut être indiqué devant des tableaux douteux, notamment dans le diagnostic différentiel avec une pneumopathie infectieuse ou quand un syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) est suspecté. L’injection de produit de contraste est déconseillée car à risque de majorer la surcharge.
Permet l’analyse de l’urètre et la recherche d’un reflux vésico-rénal en cas de syndrome dysurique avec sténose de l’urètre infranchissable en endoscopie.
L’angiographie diagnostique peut être proposée chez les patients qui ont des lésions très calcifiées et distales, si un traitement endovasculaire est envisagé dans le même temps, ou en cas de doute diagnostique sur l’imagerie en coupes. En cas d’ischémie aiguë, l’artériographie doit être réalisée en urgence.
Selon le contexte clinique ou si la radiographie ne répond pas à la question, un scanner thoracique sans injection peut être indiqué.
Cet examen est indiqué lorsque l’IRM n’est pas disponible.
Un lavement avec produit de contraste ou une insufflation d’air sont indiqués pour la tentative de réduction en milieu spécialisé.
Le scanner reste moins sensible que l'IRM (sauf peut-être au sacrum), mais il possède une meilleure résolution spatiale, pouvant parfois mettre en évidence une rupture focale de la corticale et compléter les autres modalités en cas d'aspect équivoque.
Dans certains cas et après avis spécialisé, l’uro-IRM et/ou la scintigraphie rénale pourront être indiqués pour l’étude fonctionnelle de l’appareil urinaire.
Il peut être indiqué en fonction de l'étiologie.
Cet examen est indiqué lorsque l’IRM n’est pas disponible.
Le scanner thoracique est très sensible mais non obligatoire en cas de 1er pneumothorax spontané. Il est recommandé pour le diagnostic dans toutes les situations d'interprétation difficile de la radiographie et en cas de récidive de pneumothorax spontané à la recherche de bulles d'emphysème sous-pleural ou d'une maladie pulmonaire sous-jacente.
Le scanner sans injection de produit de contraste est un complément très utile dans le diagnostic des insuffisances rénales d'origine obstructive : origine lithiasique ou autres causes (rétropéritonéales et pelviennes, tumorales ou infectieuses). Il remplace l'ASP dans les indications de recherche de calculs ou de calcifications rénales.
Le scanner est réalisé quand la radiographie est douteuse, qu'un diagnostic différentiel est suspecté, ou chez un patient immunodéprimé.
La scintigraphie au DMSA est réalisée à la phase aiguë dans un délai d’une semaine. Elle met en évidence les lésions du cortex rénal et permet de sélectionner une population d’enfants à haut risque de reflux III à IV et de limiter le nombre de cystographies normales. Ceci ne concerne pas l’enfant de moins de 2 mois.
La scintigraphie au DMSA après le 6ème mois reste l’examen de référence pour rechercher des cicatrices rénales et pour le calcul des fonctions rénales relatives.
Il est indiqué en cas de suspicion de traumatisme non accidentel.