1ère intention: Scanner Abdominopelvien
Colique néphrétique compliquée (hyperalgique, fébrile) ou doute diagnostique (anévrisme aorte). Si doute diagnostique passage en délai 2
Colique néphrétique compliquée (hyperalgique, fébrile) ou doute diagnostique (anévrisme aorte). Si doute diagnostique passage en délai 2
Radiographie thoracique préalable non nécessaire si le premier diagnostic évoqué est l’EP
Un coroscanner peut être réalisé pour écarter une origine coronarienne et en fonction des possibilités locales mettre en évidence la myocardite.
Si une cause embolique est évoquée en premier, une artériographie d’emblée à visée thérapeutique est préférable
Pour suspicion d'Angiocholite. Sans injection à la recherche des lithiases
Si IRM non disponible
Si IRM non disponible
Si IRM non disponible
Si IRM non disponible
Si IRM non disponible
Dans le cas général, l’angioscanner est à faire sans urgence immédiate (peut être différé à la journée)
Chez un patient connu pour une lésion néoplasique, il est à réaliser en urgence à la recherche d’un faux anévrisme artériel pulmonaire (à emboliser en urgence)
Il est uniquement en cas de malformation vertébrale dans le bilan pré-opératoire.
Il est indiqué en première intention chez les adultes de plus de 40 ans et/ou avec facteurs de risque (tabagisme, ATCD de tumeur vésicale ou de la voie excrétrice supérieure).
Il n'a de valeur que positif. Il n'a pas pour objectif de rechercher les petites lésions urothéliales inaccessibles à l'imagerie.
Le scanner est indiqué dans des situations particulières :
• Il est recommandé dans les 72 heures d’antibiothérapie en cas d’évolution défavorable,
• Il est recommandé dans les 24H en cas d’uropathie, d’immunodépression grave, d’insuffisance rénale sévère (l’injection de produit de contraste dans ce contexte est à discuter au cas par cas) ou chez le sujet âgé.
L’imagerie permet le guidage de gestes interventionnels (drainage des cavités pyélocalicielles ou d'un abcès).