1ère intention: Echographie cardiaque transthoracique
Cet examen est réalisé en cas de suspicion d’endocardite.
Cet examen est réalisé en cas de suspicion d’endocardite.
Cet examen est réalisé en cas de suspicion de cholécystite.
Cet examen est réalisé en cas de suspicion de spondylodiscite.
L'IRM est indiquée en 2ème intention (ou le scanner si l'IRM est contre-indiquée ou non disponible) s'il existe des zones suspectes ou mal visualisées sur les radiographies ou si la douleur persiste ou s'aggrave.
En cas de cervicalgie avec radiculalgie persistante plus de 4 à 6 semaines, une IRM est indiquée en première intention pour rechercher une étiologie ou si un acte invasif est discuté. Elle peut être associée à un bilan radiographique pour une interprétation optimale.
Le scanner est l'alternative si l'IRM est contre-indiquée ou non disponible.
Cette imagerie doit être réalisée en urgence.
Le bilan d’extension locorégional consiste en une IRM lombopelvienne.
Le bilan d’extension locorégional consiste en une IRM lombopelvienne.
L'IRM du rectum est l'examen de référence pour faire le bilan d'extension du cancer du rectum. Elle permet de déterminer le stade T de la tumeur, c'est-à-dire sa profondeur d'envahissement au travers de la paroi rectale, ainsi que l’existence d’adénopathie locorégionales, ce qui va définir le type de traitement (chirurgie première ou radiochimiothérapie première).
L'IRM aide également à mesurer la distance entre le pôle inférieur de la tumeur et les sphincters et à l’analyse de l’appareil sphinctérien anal dans les cancers du bas –rectum qui va gouverner le type de chirurgie à effectuer.
En l’absence de drapeau rouge, iI est recommandé de réaliser une imagerie rachidienne en cas de lombalgie chronique (au-delà de 3 mois) : la réalisation d’une IRM est recommandée (scanner en cas de contre-indication à l’IRM). En l’absence de drapeau rouge, il n’y a pas d’indication à réaliser des radiographies isolées en dehors de la recherche d’une instabilité ou d’un trouble statique rachidiens. Il n’y a pas d’indication à renouveler l’imagerie en l’absence de modification des symptômes. Il est important d’expliquer au patient l’absence de corrélation systématique entre les symptômes et les signes radiologiques. Il est recommandé d’expliquer et de dédramatiser les termes médicaux et techniques des comptes rendus d’imagerie. Si un geste invasif (infiltration épidurale, voire chirurgie rachidienne) est envisagé, une imagerie rachidienne (IRM ou scanner si contre-indication) est conseillée (sauf chez les patients hyperalgiques afin de ne pas retarder leur prise en charge).
En cas d'atypie clinique, de contexte de cancer connu ou septique, ou d’indication à une infiltration ou une vertébroplastie, préférer l’IRM, même si le scanner reste une bonne technique d’exploration.
Un scanner sans injection de PDC à faible dose est indiqué uniquement en cas de situation trainante ou de présentation inhabituelle, après l’âge de 5 ans.
La radiographie des sinus n’est jamais indiquée chez l'enfant. De plus, avant l’âge de 5 ans, les sinus sont peu développés.
Les calculs sont rares chez l’enfant.
L’échographie permet d’éliminer les causes urologiques et de rechercher une thrombose veineuse dans certains cas particuliers (nouveau-né, syndrome néphrotique).
Ces radiographies ne sont pas contributives et exposent aux rayonnements ionisants.
Le premier bilan est clinique et électro-encéphalographique (EEG).
Pour certains syndromes (épilepsie absence de l’enfant, épilepsie absence de l’adolescent, épilepsie myoclonique juvénile et épilepsie de l’enfant à pointes centro-temporales), l’imagerie n’est pas recommandée.
Dans tous les autres syndromes, une IRM cérébrale est indiquée sans urgence. Le délai de réalisation dépend de l’étiologie sous-jacente suspectée.
Le protocole IRM doit être adapté en fonction des données cliniques et EEG. L’injection de produit de contraste est indiquée en cas de découverte d’une lésion. Il faut privilégier l’examen dans un centre spécialisé, si possible sur une IRM 3T.
L’IRM doit être réalisée en urgence en cas de déficit focal précédant la crise ou post critique durable.