2ème intention: IRM cérébrale
IRM dans les 4 semaines
IRM dans les 4 semaines
Lors du suivi, une IRM (à défaut un scanner) est indiquée :
- en cas de visibilité insuffisante du parenchyme hépatique en échographie;
- en cas d'apparition d'un nouveau nodule, ou de modification d'un nodule déjà connu (caractérisation du nodule);
- dans certaines étiologies particulières pour quantifier de la charge hépatique en fer ou en graisse (IRM).
Pour le bilan ligamentaire
Si luxation fémoro-tibiale bilan ligamentaire par IRM dans les jours qui suivent
L'IRM peut être proposée si scanner normal mais suspicion clinique de fracture occultes
Une IRM doit être réalisée rapidement quand l’imagerie coronaire n’a pas montré de sténose coronaire. Elle fera le diagnostic différentiel et étiologique ; myopéricardite, infarctus à coronaires saines (MINOCA), cardiomyopathie aiguë de tako-tsubo.
Elle peut être indiquée en cas de suspicion de collection cervicale (tuméfaction cervicale inflammatoire associée).
Le torticolis est le plus souvent idiopathique, dû à une contracture sans lésion osseuse. Il cède en quelques jours. L’analyse des clichés radiographiques à la phase aiguë est difficile en raison de la contracture.
Elle permet le diagnostic positif de péricardite aiguë, l'évaluation d'une pathologie associée ou causale, l’estimation du volume de l'épanchement péricardique et son accessibilité à un drainage, et l'apparition de signes de tamponnade. Elle est également très utile pour le suivi du patient.
En cas de douleurs suspectes sans argument à l’échographie pour ce diagnostic (péricardite sèche) ou en cas de contexte particulier (néoplasie, traumatisme.).
L'échographie doit être réservée aux patients jeunes ou dans des cas d'hypothèses diagnostiques particulières (pathologies biliaire, appendiculaire, appendagite épiploïque).
L'hypothèse d'une pathologie gynécologique (âge, sexe) doit amener à faire l'échographie en 1ere intention.
Les causes infectieuses sont les plus fréquentes et aucun examen d’imagerie n’est utile.
Il est peu contributif chez l’enfant et source d’exposition aux rayonnements ionisants.
Le cliché de l’abdomen sans préparation n’est utile qu’en période néonatale.
L’échographie doit être privilégiée dans le cadre d’un bilan étiologique spécialisé.
En cas d’acouphènes non pulsatiles, l’IRM et le scanner permettent de rechercher une anomalie de trajet vasculaire.
En cas d’acouphènes pulsatiles : l’écho doppler est en 1ère intention, puis l’IRM à la recherche de malformations vasculaires artérielles ou de lésions hypervasculaires (MAV, FAV, paragangliome.) Si l’IRM est normale, une artériographie des troncs supra aortiques et du polygone artériel) peut être discutée.
En cas d’otoscopie normale et de surdité de surdité de perception +/- vertiges, l’IRM permet de rechercher des anomalies de l’oreille interne (inflammation, malformation, tumeurs) ou du MAI (tumeurs, inflammation).