2ème intention: IRM pelvienne
Cet examen doit être réalisé en cas de doute en échographie ou en cas de doute de forme interstitielle. Il ne doit pas retarder la prise en charge thérapeutique de la patiente.
Cet examen doit être réalisé en cas de doute en échographie ou en cas de doute de forme interstitielle. Il ne doit pas retarder la prise en charge thérapeutique de la patiente.
L'échographie peut permettre la recherche d'un épanchement, d'une synovite et peut guider une ponction et / ou infiltration. Elle peut également objectiver des anomalies des tissus mous périarticulaires (bursopathies, tendinopathies, kystes…).
L'échographie est indiquée en cas de rhumatisme périphérique, l’IRM en cas d'atteinte axiale.
Lorsque tous les critères de l’IHS ne sont pas remplis, lorsque la symptomatologie ou la fréquence des céphalées se modifie, une imagerie (IRM de préférence) avec injection de PDC pourra être réalisée à la recherche d'une cause organique sous-jacente (céphalées positionnelles : kyste colloïde, malformation d’Arnold-Chiari ; céphalées matinales : hypertension intracrânienne bénigne ; autres causes de céphalées : tumeur, lésions vasculaires comme un anévrysme ou une fistule durale…).
L’échographie peut être utile dans certaines topographies périphériques (métatarsiens par exemple).
L’IRM peut être utile en cas de doute diagnostique mais elle ne doit pas retarder la prise en charge chirurgicale.
Après détorsion chirurgicale, elle permet d’éliminer une lésion sous-jacente lorsqu’un doute persiste.
Elle sera précisée après avis rhumatologique. Il importe d’éviter la multiplication des examens d’imagerie chez les patients fibromyalgiques.
Une IRM avec injection pourra être réalisée à la recherche d'un conflit vasculo-nerveux ou d'une lésion organique sous-jacente en cas d'atypies cliniques (hypoesthésie notamment) ou en cas d'échec d'un traitement médical bien conduit (bilan pré-chirurgical). La première cause de névralgie trigéminale non idiopathique du sujet jeune reste la sclérose en plaques.
L’IRM permet également de mesurer les volumes et fraction d’éjection du ventricule gauche si l’échographie transthoracique est insuffisante. Elle permet surtout de rechercher des anomalies myocardiques structurelles (fibrose, nécrose) dont l'importance et la topographie peuvent orienter le diagnostic étiologique et la prise en charge des patients.
En cas de masse complexe ou indéterminée en échographie ou classée O-RADS 3, 4 ou 5, une IRM pelvienne avec injection est nécessaire pour sa caractérisation.
Si l’association radiographies-échographie ne permet pas de diagnostic précis, si l’on suspecte une pathologie osseuse (exemple fissure sous chondrale, ostéonécrose…) ou si l’on recherche une complication, l’IRM est un bon examen.
L’IRM confirme la rupture du LCA en cas de doute clinique et permet de faire l'inventaire des lésions méniscoligamentaires et ostéochondrales associées.
L’IRM est à faire rapidement en cas de doute diagnostique, de blocages articulaires ou de sportifs de haut niveau.
L’échographie peut être réalisée en complément des radiographies. Elle permet de faire un bilan ligamentaire précis et en particulier de faire la part des choses entre une atteinte de la syndesmose tibiofibulaire distale, une entorse latérale de la cheville et une atteinte du Chopart, ce qui peut modifier la prise en charge thérapeutique des patients.
Cet examen est réalisé à la recherche d’une lésion tumorale pancréatique.
L'IRM est indiquée en seconde intention pour l'étude de l'artère et de la veine rénale, pour l'étude des troubles de la perfusion intra-rénale (infarctus, nécrose corticale), et pour l'étude des cavités (obstruction).
L'injection de produit de contraste gadoliné est à discuter au cas par cas.
L’uro-IRM (avec injection de produit de contraste et de furosémide) permet une étude anatomique et fonctionnelle de l’appareil urinaire. Comme la scintigraphie MAG 3, l’analyse fonctionnelle permet de quantifier la fonction rénale relative et d’étudier l’excrétion du produit dans les voies urinaires.
L'échographie peut être utile pour orienter le diagnostic étiologique (épanchement, synovite, ténosynovite, enthésite, érosions marginales, …) et peut guider une ponction et / ou une infiltration.
Une échographie est indiquée en cas de présentation clinique inhabituelle : sujet jeune, début brutal, suspicion de lésion sous-jacente, survenue à l'effort, discordance entre la clinique et l'électrophysiologie. En cas d’échec ou récidive postopératoire, on préfèrera l’IRM.
Cet examen peut être indiqué après avis gastroentérologique pour réaliser le bilan d’extension de la maladie.