2ème intention: IRM pelvienne
Cet examen doit être réalisé en cas de doute en échographie ou en cas de doute de forme interstitielle. Il ne doit pas retarder la prise en charge thérapeutique de la patiente.
Cet examen doit être réalisé en cas de doute en échographie ou en cas de doute de forme interstitielle. Il ne doit pas retarder la prise en charge thérapeutique de la patiente.
L'IRM est indiquée en seconde intention en cas de suspicion de sténose de l'artère rénale et pour la recherche de troubles de perfusion ou d'obstruction urinaire.
L'IRM peut coupler des informations morphologiques et fonctionnelles.
L'injection de produit de contraste gadoliné est à discuter au cas par cas.
Cet examen permet de faire le bilan de la fonction systolique du ventricule droit et de rechercher une étiologie. C’est l’examen de référence pour la mesure des volumes et de la fraction d’éjection ventriculaire droite. Il permet de plus de rechercher une cause secondaire (malformation cardiaque, retour veineux pulmonaire anormal, CIA …).
Elle n’est indiquée que lorsque l’évaluation précédente n’a pas permis de répondre à la question posée, notamment après échec d’un traitement chirurgical.
L’IRM n’est pas indiquée s’il existe d’emblée des métastases hépatiques ou une tumeur massivement envahissante sur le scanner initial.
Cet examen permet la biométrie fœtale, l’évaluation du volume du liquide amniotique et l’examen Doppler des artères ombilicales et utérines.
Si les douleurs sont rythmées par les efforts ou le sport, l’IRM peut être indiquée pour rechercher un syndrome des loges ou un syndrome de l’artère poplité piégée.
L’IRM est indiquée dans tous les autres cas lorsque l’échographie ne peut donner une caractérisation des lésions. Le couple IRM + échographie de contraste peut être nécessaire pour le diagnostic des kystes atypiques ou la caractérisation des tumeurs hépatocytaires bénignes.
Le scanner n’est indiqué qu’en cas de contre-indication à l’IRM.
Lorsque tous les critères de l’IHS ne sont pas remplis, lorsque la symptomatologie ou la fréquence des céphalées se modifie, une imagerie (IRM de préférence) avec injection de PDC pourra être réalisée à la recherche d'une cause organique sous-jacente (céphalées positionnelles : kyste colloïde, malformation d’Arnold-Chiari ; céphalées matinales : hypertension intracrânienne bénigne ; autres causes de céphalées : tumeur, lésions vasculaires comme un anévrysme ou une fistule durale…).
L'échographie peut permettre la recherche d'un épanchement, d'une synovite et peut guider une ponction et / ou infiltration. Elle peut également objectiver des anomalies des tissus mous périarticulaires (bursopathies, tendinopathies, kystes…).
L'échographie est indiquée en cas de rhumatisme périphérique, l’IRM en cas d'atteinte axiale.
L’IRM peut être utile en cas de doute diagnostique mais elle ne doit pas retarder la prise en charge chirurgicale.
Après détorsion chirurgicale, elle permet d’éliminer une lésion sous-jacente lorsqu’un doute persiste.
L’échographie peut être utile dans certaines topographies périphériques (métatarsiens par exemple).
Une IRM avec injection pourra être réalisée à la recherche d'un conflit vasculo-nerveux ou d'une lésion organique sous-jacente en cas d'atypies cliniques (hypoesthésie notamment) ou en cas d'échec d'un traitement médical bien conduit (bilan pré-chirurgical). La première cause de névralgie trigéminale non idiopathique du sujet jeune reste la sclérose en plaques.
Elle sera précisée après avis rhumatologique. Il importe d’éviter la multiplication des examens d’imagerie chez les patients fibromyalgiques.
L’IRM permet également de mesurer les volumes et fraction d’éjection du ventricule gauche si l’échographie transthoracique est insuffisante. Elle permet surtout de rechercher des anomalies myocardiques structurelles (fibrose, nécrose) dont l'importance et la topographie peuvent orienter le diagnostic étiologique et la prise en charge des patients.
En cas de masse complexe ou indéterminée en échographie ou classée O-RADS 3, 4 ou 5, une IRM pelvienne avec injection est nécessaire pour sa caractérisation.
Si l’association radiographies-échographie ne permet pas de diagnostic précis, si l’on suspecte une pathologie osseuse (exemple fissure sous chondrale, ostéonécrose…) ou si l’on recherche une complication, l’IRM est un bon examen.
L’IRM confirme la rupture du LCA en cas de doute clinique et permet de faire l'inventaire des lésions méniscoligamentaires et ostéochondrales associées.
L’IRM est à faire rapidement en cas de doute diagnostique, de blocages articulaires ou de sportifs de haut niveau.